| Films | Captain Jim (Cinématraque) | Claire Lalaut | Flavien Poncet | Jonathan Deladerrière | Justin Kwedi | Elvire Rémand | Romain Leclercq | Maxime Bauer | Thibaut Das Neves | Victor Lopez |
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Creepy (en salles le 14/06/2017)
Kurosawa Kiyoshi |
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« Un thriller glaçant où Kurosawa offre une variante virtuose de "Cure". »
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« Totalement WTF, Creepy renoue avec les premières amours de Kurosawa. Un méchant ultra méchant et incroyable qui fait tenir tout le film. »
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« Un peu théorique, pas toujours parfait au niveau de l'écriture, et d'une précision hallucinante dans la mise en scène, Creepy n'est peut-être pas un grand film, mais prouve que Kurosawa est un grand cinéaste. »
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Crosscurrent (FCCF 2017)
Yang Chao |
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« Deux solutions pour apprécier ce film poétique et quasiment mystique : connaître la culture chinois sur le bout des doigts ou simplement se laisser porter par une mise en scène soignée, des images sublimes et un score envoûtant. »
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Dans un jardin qu'on dirait éternel (en salles le 26/08/2020)
Tatsushi Omori |
« Magnifique film qui sait rendre compte du temps qui passe et de l'importance des rites dans nos vies. On dit souvent que le cinéma à grand spectacle mérite d'être vu sur grand écran, mais c'est aussi le cas des œuvres réflexives comme celle-ci. »
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« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
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« Belle ode à la poésie du quotidien, à la reposante et vivifiante cérémonie du thé. Merveilleux dernier rôle pour Kirin Kiki. »
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« C'est surtout la durée du film qui semble éternelle. »
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Dans un jardin qu'on dirait éternel (Kinotayo 2019)
Tatsushi Omori |
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« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
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« Une fable du quotidien qui énonce des choses simples avec une tonalité légère. Un joli au revoir à Kirin Kiki. »
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Dans un recoin de ce monde (en salles le 06/09/2017)
Katabuchi Sunao |
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« Raconter l'Histoire par la petite porte, en suivant le quotidien de familles impactées par les catastrophe mais se battant pour continuer à vivre normalement, et cela, tout en poésie, c'est aussi ça le cinéma. »
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« Poignant et poétique. »
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Dark Figure of Crime (FFCP 2018)
Kim Tae-gyun |
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« Cahier des charges rempli pour ce polar qu'on a déjà vu 10 fois, malheureusement. »
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Days (en salles le 30/11/2022)
Tsai Ming-liang |
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« Tsai Ming-liang acte l'abandon de la narration pour une observation méditative du quotidien, de la solitude et du temps qui passe. Si on se laisse emporter, c'est assez magnifique. »
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« Œuvre muséale, cette expérience plastique de Tsai touche au point limite de son cinéma, en explorant des zones formelles entre contemplation et ennui. »
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« Le cinéma non-narratif de Tsai est maintenant pleinement abouti, charme nos yeux et nos cœurs à travers des plans censément ennuyeux. »
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De l'autre côté du ciel (en salles le 17/08/2022)
Hirota Yuusuke |
« Je sais pas ce qui a pris à Studio 4°C de sortir un film avec une animation 3D aussi moche. Sinon, c'est correct vite fait, mais déjà vu mille fois. »
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De nos jours... (en salles le 19/07/2023)
Hong Sang-soo |
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« Pas forcément indispensable mais attachant dans sa petite musique habituelle. »
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« Un nouvel Hong, sans choc. Subsistent, malgré tout, deux belles séquences : celle où Kim explique le métier d'actrice et celle, finale, où le vieux poète profite de sa solitude reconquise. »
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« Plaisir simple de la vie que l'art minimaliste de Hong Sang-soo. »
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Death Death Row Family (L'Étrange Festival 2017)
Kobayashi Yûki |
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« C'est assez bordélique et Kobayashi a encore du mal à se détacher de ses influences et à se créer son propre style. Mais le jeune cinéaste est à surveiller ! »
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Death March (Cannes 2013)
Adolfo Alix Jr. |
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« Premier (et seul) film de Cannes 2013 qui se transforme en bonne sieste. »
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Death Note (Netflix)
Adam Wingard |
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« Les scènes gore sont marrantes mais n'ont rien à voir avec le manga. En fait, le film n'a rien à voir avec Death Note. Une adaptation ni faite ni à faire. Et un film tout juste passable. »
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« Ni une bonne adaptation ni un mauvais film (ou l'inverse) : un téléfilm lambda pour les dimanches après-midi. »
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Decision To Leave (en salles le 29/06/2022)
Park Chan-Wook |
« Dans la salle, non pas un mais DEUX couples ont profité de la séance pour baiser. Tout ça pour dire que le dernier Park Chan-wook est sexy. »
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« Entre variation hitchockienne décomplexée et drame romantique assumé, Park Chan-wook s'amuse et s'émoustille. Et nous aussi. »
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« Park compile les bravoures formelles, au risque de boursouffler sa mise en scène et au dépens de la délicatesse sentimentale de son récit. Le tout reste fascinant et beau comme un ouvrage parfait mais trop bien poli. »
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« Une très belle variation tout en romantisme chaste et suspicion du film noir et de Vertigo, servie par la mise en scène inspirée de Park Chan-wook. »
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« Un Hitchcock modernisé, à la sauce Park Chan-wook. Quelques longueurs mais on reste séduit. Une 2e vision s'annonce nécessaire. »
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« Une première heure qui tire un peu à la ligne en posant les enjeux de l’intrigue, mais qui n’entache en rien une hitchcokienne histoire d’amour sur fond de meurtre, filmée par Park Chan-Wook et sa proverbiale virtuosité dans la mise en scène
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« Intrigue faisant du surplace, image quelque peu figée. »
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« Park Chan-wook signe peut être son plus grand film, qui rejoint instantanément The Strangers et Burning sur le podium des meilleurs films coréens de ces dernières années. »
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Default (FFCP 2019)
Choi Kook-hee |
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« Drame intelligent et efficace sur les édifiantes coulisses de la crise monétaire de 1997 auquel il manque peut-être un souffle dramaturgique malgré un excellent casting. »
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« Etonnante que cette reconstitution de la crise financière de 1997 avec Vincent Cassel au casting. On se prend au jeu du rythme effréné des marchés et des impacts catastrophiques, à la fois politiques mais aussi pragmatiques, sur les petites gens. »
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« Dans la droite lignée des films économiques tels que The Big Short ou Margin Call, Default se révèle particulièrement clair, avec des moments d'indignation bienvenus. Et Vincent Cassel en négociateur du FMI qui cabotine, ça n'a pas de prix. »
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Demon Slayer - Kimetsu No Yaiba - le film : la train de l'infini (en salles le 19/05/2021)
Sotozaki Haruo |
« Tout aussi cliché et attendu que la saison 1 du shonen, mais extrêmement réjouissant du fait de son personnage principal édifiant et de ses combats du feu de dieu. Film parfait pour le retour en salles. »
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« Un superbe épisode offert sur grand écran qui offrira aux fans deux heures de pur plaisir, entre action, humour et émotion.
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Dernier train pour Busan (en salles le 17/08/2016)
Yeong Sang-ho |
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« Efficace et très bien fait (les hordes de zombies sont impressionnantes), le film est malheureusement en deçà des réalisations de Yeon Sang-ho car trop caricatural. Coup commercial ? Changement de bord ? On ne le saura jamais vraiment... »
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« De bonnes idées, des zombies efficaces et un sous-texte passionnant, quelques peu gâchées par des personnages trop stéréotypés et des scènes clairement ratées. Dommage... »
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Dernier train pour Busan (en vidéo le 17/12/2016)
Yeon Sang-ho |
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« Efficace et très bien fait (les hordes de zombies sont impressionnantes), le film est malheureusement en deçà des réalisations de Yeon Sang-ho car trop caricatural. Coup commercial ? Changement de bord ? On ne le saura jamais vraiment... »
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« De bonnes idées, des zombies efficaces et un sous-texte passionnant, quelques peu gâchées par des personnages trop stéréotypés et des scènes clairement ratées. Dommage... »
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Destiny : The Tale Of Kamakura (Kinotayo 2019)
Yamazaki Takashi |
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Destruction Babies (Kinotayo 2017)
Tetsuya Mariko |
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« Une grosse claque mais bien trop assommante. Le propos n'est pourtant pas inintéressant. Raté ! »
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Destuction Babies (en salles le 27/07/2022)
Mariko Tetsuya |
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« Aussi déroutant que fascinant, ce premier film tire un portrait impitoyable de la société japonaise et révèle un cinéaste avec un sacré tempérament. »
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« Un portrait de la jeunesse japonaise désenchantée. Fascinant. »
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« Un portrait brutal et désenchanté d’une jeunesse japonaise n’ayant que la violence comme moyen d’expression. Il ne manque qu’un peu plus de sentiments fraternels pour accéder au chef d’œuvre. »
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« Les méandres de l'âme humaine et la violence primaire, vues par un jeune réalisateur talentueux. »
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« L'émergence d'un cinéaste sur lequel on espère compter pour relever le cinéma japonais. »
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- : bon
- : très bon
- : excellent
- : chef-d'Oeuvre
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